Povoa de Varzim

Povoa de Varzim

31 juillet au 05 août

Bom dia!

Nous quittons notre mouillage de bon matin. Nous sommes réveillés à 4h, départ à 5h pour le Portugal, Povoa de Varzim.

La navigation est calme, pas de houle, peu de vent. La dernière ville espagnole A Guardia sera dans la brume.

Nous passons près de Viana do Castelo, nous ne pouvons hélas pas nous arrêter partout.

Les grands bâtiments de Povoa de Varzim se voient de loin, ça n'est pas une jolie vue.

Étant donné que la météo doit se dégrader, nous serons à l'abri.
Effectivement le lendemain c'est brouillard,

Le deuxième jour de la pluie,

le troisième 35 knt dans la marina, Michel avait du mal a tenir sur la catway, ça bougeait beaucoup.

 Enfin, un peu de répit le 4 ème jour, le vent est toujours très ardent. En plus, il n'y fait pas chaud.

Dans le port, il y a une plage qui découvre à marée basse, des pêcheurs de coquillages viennent y ramasser les palourdes. L'idée d'en manger, ne nous donne pas du tout envie.

Les alentours de la marina, ne sont pas terribles sauf si on nous place dans la nouvelle qui malheureusement n'a pas encore de sanitaires. Il faut passer par le chantier qui est très grand pour aller en ville. Certains bateaux sont à secs, d'autres en travaux, et il y a aussi ceux qui n'ont plus revu leur propriétaire depuis très longtemps. C'est un bon endroit pour y laisser son voilier.

A peine Michel avait t'il commencé la vidange moteur que la pompe est tombée en panne! Il a fini avec une grosse seringue, il ne faut pas être à cours d'idées.

Nous avons quand même trouvé un magasin d'habits nautiques pour les pêcheurs, la tenue fera l'affaire. C'est mieux que de prendre l'eau, ce pantalon n'est pas prêt d'être usé, les couturières mettent la bonne qualité et fabriquent sur place. Bon, alors, tu te décides, orange ou jaune ?

Nous avons vu arriver un drôle de voilier, très original, avec un capitaine assez âgé. Nous avons essayé de le rencontrer mais il n'y avait personne. Ce bateau doit avoir une histoire, nous n'en saurons pas plus, dommage.

Comme prévu, nous avons été bien abrité de la grosse houle. Au final, la ville n'est pas mal, on trouve de tout, du moment qu'il y a un marché municipal, pour mes produits frais, je suis ravie.